La soirée de distinction des femmes leaders de Africa Mousso a eu lieu, ce vendredi 31 octobre 2025 à l’espace culturel Dieudonné. Entre encouragements et recommandations, Aïda Sodel Koenao, la promotrice de l’entreprise Sodel soutient l’évènement.
Sodel évolue dans la transformation agroalimentaire plus précisément dans le domaine du séchage des légumes, la production de bouillons sans produits chimiques et sans glutamate, etc. Responsable de cette entreprise, Aïda est abonnée à la page Africa Mousso depuis bien longtemps. « J’ai eu l’occasion de postuler. Malheureusement, je n’ai pas été sélectionné. Mais, n’empêche! Je suis venue soutenir les autres femmes. Il s’agit de la célébration de la femme. Donc, je suis honorée d’y être. », a-t-elle informé.
En ce qui concerne le déroulement de la soirée, elle estime que ça va dans l’ensemble.
« Quand on est arrivé, on nous a accueillies chaleureusement. Après, on a servi le buffet, on s’est installé et la cérémonie a commencé. C’était bien, surtout l’ambiance », a-indiqué l’invitée.
Elle a aussi apprécié les propos du parrain. « J’ai bien aimé son discours même si je ne comprends pas bien le mooré. Dans les quelques mots que j’ai pu comprendre, il a parlé de la valorisation de la femme et du Burkina Faso, de ce que le président Capitaine Ibrahim Traoré fait et de la combativité de nos FDS », a-t-elle mentionné.
Aïda Sodel félicite la promotrice Sandrine Folane Ouédraogo et les organisateurs pour le travail abattu au quotidien en faveur des femmes parce qu’organiser un évènement est vraiment un grand défi à relever. Elle lui souhaite beaucoup de courage et l’invite à continuer dans son cet élan.
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Toutefois, pour les éditions à venir, elle suggère de commencer un peu, plus tôt. Étant donné que c’est la nuit et à cause de l’insécurité, il faut penser aussi à ces aspects et à ceux qui habitent loin.
« Je suis en train, de rentrer parce que je suis très très loin d’ici. Je suis triste de ne pas pouvoir rester jusqu’ à la fin. Il est presque minuit et ce n’est pas encore fini. Certains sont en train de rentrer aussi. Pourtant, j’aurais bien aimé rester jusqu’à la fin pour découvrir les Sanem Poaka, les féliciter, prendre des photos avec elles et pourquoi pas, échanger avec d’autres personnes. C’est vraiment dommage », a-t-elle fait savoir.
Françoise Tougry /Queenmafa.net









