Un homme avait contraint sa première femme a quitté son emploi dans un service privé de Ouagadougou afin d’être disponible pour le suivre à son poste d’affectation à Dori. L’épouse a suivi la volonté de son mari pour tourner avec lui partout où il était affecté. Après quinze ans de mariage, celui-ci bien qu’il a signé la monogamie, décide de prendre une deuxième femme contre la volonté de la première. A ce moment, ils étaient revenus à Ouaga.
Un homme avait contraint sa première femme a quitté son emploi dans un service privé de Ouagadougou afin d’être disponible pour le suivre à son poste d’affectation à Dori. L’épouse a suivi la volonté de son mari pour tourner avec lui partout où il était affecté. Après quinze ans de mariage, celui-ci bien qu’il a signé la monogamie, décide de prendre une deuxième femme contre la volonté de la première. A ce moment, ils étaient revenus à Ouaga.
La première n’avait pas le choix car son époux menaçait de demander le divorce si elle n’acceptait pas sa coépouse. Alors la seconde épouse a intégré la cour familiale. C’est à ce moment que le mari a commencé à abuser de toutes les formes de tortures morales pour faire partir la première (privation économique et sexuelle, injustice…).
C’est ainsi qu’il rentrait chaque soir avec des cadeaux pour offrir à sa préférée sous les yeux de la première déjà délaissée. Comme cette dernière ne répondait pas à ces provocations, il décida d’aller chaque soir dès 18h 30 avec la préférée pour ne ressortir que le matin. La première épouse qui n’en pouvait plus, a fini par s’introduire en cachette dans la chambre de sa coépouse, attendant le retour du mari. Comme d’habitude le mari, de retour du service a continué directement dans la chambre de s’enfermer sa préférée, et l’invita, à haute voix, à le rejoindre au lit. A sa grande surprise, elle surgit de sa cachette au bon moment et donna un cout sec à la partie sensible du mari au moment où il était prêt à passer à l’acte. Ce jour fut particulier car le mari a terminé son érection à l’hôpital.
Rapporté par Fleur Birba