La grande finale de la première édition d’Orange Music Talents (OMT) s’est tenue ce 30 mai 2025 à Ouagadougou. À l’issue de cette compétition nationale dédiée à la promotion de jeunes talents musicaux burkinabè, Bassiratou Bonkoungou vient de graver son nom en lettres d’or dans le paysage musical burkinabè.
Lancé par Orange Burkina Faso, le concours OMT vise à révéler des talents musicaux âgés de 18 à 35 ans, issus des quatre coins du pays. Parmi les huit finalistes retenus pour une résidence artistique intensive à Ouagadougou, encadrés par des pointures telles qu’Amity Meria, Smarty et Bil Aka Kora, Bassiratou Bonkoungou a conquis le public et s’est démarquée aux yeux des membres du jury, faisant d’elle la championne de cette première édition.

Elle repart avec la somme de 5 millions de FCFA, un Extended Play (EP) de 4 titres, un clip vidéo et une vaste campagne de promotion.
Un palmarès impressionnant depuis l’enfance
Cette victoire n’est que la suite logique d’un parcours forgé dans la passion et la persévérance. Dès son plus jeune âge, Bassiratou Bonkoungou se distingue par un talent multiforme. Alors qu’elle était encore en CE2-CM1, elle a fait sensation à Bambino show. Elle a également occupé la première place de Vacances éveil passion organisé par Pamika la Star.
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En 2014, elle occupe la 1ère place à Fitini Show et la 5e place à Faso Academy en 2018. En 2023, elle est sacrée championne d’Afrique de Floorball, prouvant qu’elle excelle également dans le sport. Aujourd’hui, en parallèle de sa carrière musicale qui prend son envol, elle poursuit sereinement ses études au Centre Universitaire de Ouagadougou, titulaire d’une Licence 2 en Géographie.
Cette initiative d’Orange Burkina Faso s’inscrit dans une volonté de soutenir la jeunesse créative et de promouvoir l’industrie musicale nationale. Elle permet aussi de professionnaliser les talents émergents, à travers un encadrement technique et une exposition médiatique importante.
A noter que pour cette 1ère édition, plus de 600 candidatures ont été enregistrées via l’application Max it.
Fabrice Sandwidi