Ils sont sept. Quatre femmes et trois hommes, formés après huit années de médecine générale et quatre années de spécialisation pour soigner ce qu’on ne voit pas. Mais, qui fait tant de mal, à savoir les souffrances de l’esprit.
Leur mission est d’écouter, de comprendre, de redonner espoir et de rappeler que la santé mentale fait partie intégrante de la santé.
Dans un monde où les blessures intérieures restent souvent tues, leur présence apporte une lueur nouvelle.
Avec ces spécialistes, le Burkina gagne sept voix de plus pour défendre la santé mentale, sept raisons d’espérer un pays où demander de l’aide ne sera plus perçu comme une faiblesse. Mais, comme un pas vers le mieux-être.
Parce qu’un esprit en paix, c’est déjà un corps qui va mieux.
Source Bulletin santé