La Commission épiscopale Justice et Paix (CJP) à travers le projet Paix au Sahel (SPI) a tenu un atelier, ce mardi 26 septembre 2023, au centre national Cardinal Paul Zoungrana. L’objectif est de valider le document d’orientation stratégique harmonisé sur la cohésion sociale. Ont pris à cette rencontre, une quarantaine de personnes de différentes structures.
La validation du document d’orientation stratégique harmonisé sur la cohésion sociale a eu lieu, ce 26 septembre. 43 personnes se sont penchées sur le contenu.
Mais, dès l’entame, c’est l’expert en cohésion sociale et consultant du comité de rédaction, Idrissa Demé qui a pris la parole. Il a salué la présence des participants et présenté en diaporama le document.
L’atelier vise d’abord, à permettre aux participants de mieux appréhender le projet, ensuite d’amender, puis de passer à la phase de validation et enfin recueillir des suggestions pour l’application et le suivi de la mise en œuvre des axes stratégiques proposées par le document.
Elaboré suite au constat d’une intervention non harmonisée des différentes commissions de l’église catholique, ledit document est un référentiel stratégique de la cohésion sociale qui servira de guide. On note cinq grands axes dont l’analyse du contexte de la paix et de la cohésion sociale en Afrique et dans le monde, la justification du document, le fondement, les dimensions de la cohésion sociale et le mécanisme de mise en œuvre et de suivi évaluation.
Au cours de cet atelier, les participants ont apporté leur contribution à l’amélioration dudit document en relevant les insuffisances et fait des suggestions.
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Ces derniers ont préconisé de prendre en compte l’aspect psycho-mental du document et de favoriser l’accès à l’information, aux journalistes. Des remarques bien reçues par le comité de rédaction qui dit avoir pris bonne note pour la reproduction du document final.
Le comité de rédaction s’est réjoui de la tenue de cet atelier. « C’est un sentiment de satisfaction et de prise de conscience collective pour les autres acteurs, vu que les uns et les autres se sont impliqués réellement. Cela va au-delà de la confession religieuse et c’est cela, la véritable cohésion sociale que nous recherchons », a déclaré Issa Démé.
Fabrice Sandwidi stagiaire
