Les Mutilations génitales féminines (MGF) sont une réalité au Burkina Faso. Le taux de prévalence de la pratique de l’excision reste toujours élevé. Ce vendredi 04 Octobre 2024 à Ziniaré,Le Centre d’Etudes et d’Appui-conseil en Travail social (CEAT), en partenariat avec le ministère de l’Action humanitaire et de la solidarité nationale, a tenu une communication avec les membres de la faitière des tradipraticien(nes) de la région du plateau central.
Cette rencontre d’échanges et de partages d’expériences s’inscrit dans le but de mieux connaitre les structures faitières des tradipraticien (nes)sur les mutilations Génitales féminines (MGF) afin de susciter leur engagement et leur contribution dans la lutte.
En rappel, le gouvernement Burkinabè avec l’appui de ses partenaires techniques et financiers, et la collaboration des acteurs terrain, ont engagés une lutte contre cette pratique depuis plus de trois décennies (30 ans) afin d’éliminer les cas d’excision pratiqués dans la clandestinité.
